La Chine a récemment modifié sa loi forestière pour y inclure une interdiction nationale d’achat, de transport et/ou de transformation du bois d’origine illégale, ainsi qu’un accent supplémentaire sur la traçabilité. La loi impose également aux exploitants et transformateurs de bois d’établir des comptes d’entrée et de sortie pour les matières premières et les produits.
David Hopkins (Timber Trade Federation, UK) : « Cependant, sans plus d’informations sur les changements spécifiques et l’étendue du champ d’application de cette interdiction du bois illégal, il est difficile de dire à quel point ces mouvements seront authentiques ou efficaces. Par exemple, nous aimerions voir la Chine travailler de concert avec l’UE et le Royaume-Uni pour soutenir et mettre en œuvre FLEGT. On ne sait pas non plus à ce stade quelle sera leur niveau de détermination pour appliquer une réglementation du marché plus stricte. »
Source : article EIA du 20/01/2020, article TTJ du 21/01/2020.