Une nouvelle étude publiée dans Nature Communications a cartographié les zones où la plantation d’arbres et la régénération forestière sont les plus susceptibles d’apporter des bénéfices pour le climat, la biodiversité et les communautés, tout en évitant les compromis négatifs. Informations via le nouvel article de Mongabay ; extraits :
📍 ʺLa reforestation gagne du terrain à l’échelle mondiale en tant que solution climatique, mais les scientifiques préviennent que planter des arbres sans discernement n’est pas efficace. Son succès dépend de la manière et, surtout, du lieu où elle est réalisée.ʺ
📍 ʺL’étude a identifié 195 millions ha (1,95 millions km², équivalent à la superficie du Mexique) de zones prioritaires de reforestation, un chiffre nettement inférieur aux estimations précédentes [900 millions ha, 2019].ʺ
📍 ʺCette restauration pourrait permettre d’éliminer plus de 2,2 milliards de tonnes d’équivalent dioxyde de carbone (CO2e) par an, soit environ 5 % des émissions mondiales totales liées aux combustibles fossiles et au changement d’affectation des terres en 2022, si les « bonnes » zones sont priorisées.ʺ
📍 ʺLes scientifiques préviennent que la plantation d’arbres à elle seule ne résoudra pas le problème du changement climatique, et que la protection des forêts existantes tout en réduisant les émissions apporterait de plus grands avantages climatiques.ʺ
Sources : article Mongabay, article Nature Communications (ʺAddressing critiques refines global estimates of reforestation potential for climate change mitigationʺ), site Reforestation Hub.
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